International

Solidarité avec les peuples en lutte contre la guerre, le colonialisme et la dictature !

Tribune proposée par Solidarité Socialiste avec les Travailleurs en Iran (SSTI) initialement publiée dans Mediapart.

TRIBUNE 11 JUILLET 2025

De nombreux syndicats, associations, partis politiques et personnalités expriment ici leur solidarité avec les peuples d’Iran de Palestine. Et exigent une série de mesures pour mettre fin à l’embrasement généralisé de la région. « L’État d’Israël et les États-Unis ne sont pas les seuls États au monde à s’absoudre du droit international, mais ils sont les seuls à le faire avec cette ampleur, sans faire l’objet d’aucune sanction. Ce double standard est un scandale. »

La guerre déclenchée le 12 juin dernier par l’État colonialiste et criminel d’Israël contre la République Islamique d’Iran, et rejointe par l’administration Trump est un point de bascule pour les peuples du Moyen-Orient.

En bombardant les sites nucléaires iraniens, Donald Trump a voulu à la fois :

– montrer, en situation réelle, l’efficacité destructrice des technologies dernier cri dont il dispose, et faire une démonstration de force adressée également aux autres États impérialistes,

– imposer à l’État d’Israël un cessez-le-feu dont personne ne sait combien de temps celui-ci pourrait durer. Malgré ce cessez-le-feu entré en vigueur le 24 juin, c’est bien le chaos qui progresse dans la région.

Cette guerre illégitime et illégale au regard du droit international, est le résultat direct de l’impunité dont bénéficie Nétanyahou et son gouvernement suprémaciste. La même impunité qui, malgré le mandat d’arrêt international dont il fait l’objet, lui permet de poursuivre le génocide à Gaza. C’est cette immunité qui permet à l’État d’Israël d’occuper une partie du Liban et de la Syrie, invoquant le « droit de se défendre ». L’État d’Israël a intensifié sa politique permanente visant à massacrer les Palestinien·nes pour aboutir à un génocide.

L’affrontement militaire entre une puissance surarmée soutenue par son parrain étasunien, et la République Islamique d’Iran, un État dictatorial qui se maintient depuis plus de 46 ans par la répression et la terreur, est un désastre pour les peuples.

À l’abri derrière le parapluie militaire et politique occidental, l’État d’Israël entend écraser l’Iran, soumettre les pays environnants, garder dans la région le monopole de l’arme nucléaire, et devenir la principale puissance régionale, une puissance coloniale et occidentale dominant les pays et les peuples depuis la rive Sud de la méditerranée jusqu’au détroit d’Ormuz. Rien ne permet de penser que l’État d’Israël ne poursuivra pas sa politique actuelle, tant le projet stratégique de ses élites dirigeantes est ancré. D’ores et déjà Trump se refait menaçant à l’égard de l’Iran.

Nétanyahou et la fuite en avant meurtrière 

Dans sa fuite en avant belliciste, le gouvernement de Benjamin Nétanyahou s’en est pris directement à l’Iran, en prétendant se défendre contre une hypothétique menace nucléaire. Cela malgré les déclarations de l’AIEA et des services de renseignement étatsuniens affirmant ne pas avoir de preuves de l’existence d’une programme nucléaire militaire. Cela alors même que l’État d’Israël n’est pas signataire du traité de non-prolifération nucléaire et qu’il ne rend aucun compte concernant son propre arsenal nucléaire.

Nétanyahou a ouvert un nouveau front alors que son gouvernement était de plus en plus impopulaire, y compris en Israël. Il a déclenché cette nouvelle guerre alors que le mouvement mondial de contestation contre le génocide en cours à Gaza s’amplifie, que des initiatives citoyennes et militantes pour briser le blocus imposé à Gaza se sont multipliées ces derniers temps.

En s’en prenant à l’Iran, Nétanyahou a cherché à invisibiliser les crimes et le génocide qu’il poursuit à Gaza. Il a également fait taire les critiques qui commençaient à s’exprimer timidement dans les chancelleries occidentales soumises à la pression des mobilisations publiques.

Enfin, cette intervention, soutenue par Trump, a pour but d’obtenir une capitulation complète de la République Islamique, voire de mener à un renversement du régime, ce que les négociations autour de son programme nucléaire n’auraient pas permis. La partition de l’Iran est même à craindre tant la politique israélo-étatsunienne consiste à remodeler la région.

L’armée israélienne a certes bombardé des cibles militaires mais aussi des administrations publiques, des sites et infrastructures énergétiques stratégiques ainsi que des populations civiles. Les bombardements effectués par l’État d’Israël et les États-Unis sur les sites nucléaires sont contraires au droit international. Ils font courir un risque de dégâts irréversibles d’un point environnemental et humain. 

Acculée à la riposte, la République Islamique d’Iran a répondu par des tirs de missiles balistiques et de drones à la précision aléatoire, faisant des victimes civiles en Israël.

Enfin, la précision avec laquelle les hauts gradés des Gardiens de la révolution ont été éliminés indique à quel point l’État d’Israël bénéficie de complicités, et ce jusqu’au sommet de la République islamique d’Iran. Nétanyahou mise sur certains secteurs du régime islamique pour provoquer un changement de pouvoir en Iran.

Aux peuples d’Iran de décider de leur avenir !

L’histoire le montre clairement : il n’y a pas de voie vers la démocratie dans l’ombre de la guerre et des interventions impérialistes. De l’Irak à l’Afghanistan, les exemples d’interventions militaires ayant conduit à des désastres humains et politiques ne manquent pas.

Cette guerre a fait au moins 1190 mort·es (435 militaires, 436 civils et 319 non identifié·es), ainsi que 4475 blessé·es (256 militaires, 2071 civils et 2138 non identifié·es).

Elle a également freiné la longue et courageuse lutte des peuples d’Iran contre un régime répressif, dont le dernier point culminant a été le mouvement « Femme, Vie, Liberté ». Ces derniers mois les mobilisations sociales en Iran étaient dans une phase montante. Par cette guerre, Nétanyahou a mis un coup d’arrêt momentané à cette dynamique. En cela, il a rendu un fier service à la République islamique.

Le bombardement israélien contre la prison d’Evin, où sont détenu·es de nombreux·euses opposant·es au régime, ainsi que deux otages français·es, montre à quel point Nétanyahou est l’ennemi des peuples et de leurs combats pour l’émancipation. Ce bombardement aura fait 71 morts parmi lesquels de nombreux détenu·es.

Au nom de la « chasse aux espion·nes » et à la faveur de l’intervention israélo-étatsunienne, la République islamique a renforcé sa répression contre les opposant·es. Elle multiplie notamment les arrestations et les exécutions.

La République Islamique d’Iran est une dictature fondée sur le sang de ses opposant·es, sur les privations de libertés, sur la répression systématique des femmes et de la jeunesse, sur l’écrasement des mouvements sociaux et des aspirations nationales.

Nous nous tenons fermement aux côtés des peuples d’Iran, tant dans leur résistance continue à la dictature que dans leur droit à vivre libres de toute agression militaire étrangère.

À l’unisson avec toutes celles et ceux qui luttent en Iran depuis des décennies pour la liberté, l’égalité et la justice sociale, nous refusons tout changement de régime « par en haut » et par des interventions étrangères. Le renversement de la République Islamique ne doit résulter que de la lutte des peuples d’Iran.

À l’heure où les États-Unis ont participé militairement à la guerre contre l’Iran, il est urgent que s’expriment les voix opposées à l’embrasement généralisé, aux désastres humains et environnementaux.

Nous exigeons que la « communauté internationale » fasse pression pour mettre fin immédiatement à cette escalade irresponsable.

L’État d’Israël et les États-Unis ne sont pas les seuls États au monde à s’absoudre du droit international, mais ils sont les seuls à le faire avec cette ampleur, sans faire l’objet d’aucune sanction. Ce double standard est un scandale. 

Les gouvernements qui arment et soutiennent Israël, à commencer par les États-Unis et les pays de l’Union européenne dont la France, sont complices de l’expansion de l’agression israélienne contre les peuples de la région. Ils sont tous partenaires dans ces massacres de masse.

Nous l’affirmons, Nétanyahou et Trump sont une menace pour le monde.  Il faut les arrêter !

Nous exigeons de toute urgence :

– l’arrêt immédiat de l’escalade guerrière régionale ;

– la solidarité avec les prisonnier·es politiques et les défenseurs des droits humains en Iran ;

– le soutien aux revendications sociales et démocratiques, ainsi qu’aux réseaux militants, syndicats et associations qui les portent ;

– la fin de la répression menée par la République islamique d’Iran.

Comme nous le faisons depuis des mois, nous continuons à exiger :

– la levée immédiate du blocus de Gaza, et la fin de la colonisation en Cisjordanie ;

– des sanctions immédiates contre Israël ;

– la fin immédiate de tout commerce d’armes avec Israël ;

– la rupture de l’accord d’association entre l’Union européenne et l’État d’Israël ;

 – une mobilisation mondiale pour mettre fin au génocide, à l’apartheid et la colonisation en Palestine.

Tribune proposée par Solidarité Socialiste avec les Travailleurs en Iran (SSTI)

Signataires :

Fédération syndicale unitaire (FSU)

Confédération générale du Travail (CGT)

Union syndicale Solidaires

Fédération SUD éducation

Réseau syndical international de solidarité et de luttes

 ……………………………………………………………………….

Association France Palestine Solidarité (AFPS)

ATTAC France

Pour une Écologie Populaire et Sociale (PEPS)

Comité pour le respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT)

Réseau Bastille

Association Égalités (France)

AIAK association iséroise des amis des Kurdes

Collectif 17 octobre 1961, Isère

Association Nationale des Pieds Noirs Progressiste et leurs Amis (ANPNPA)

 …………………………………………………………….

Magazine “Viento SUR » (Etat espagnol)

Europe Solidaires sans frontières

Revue Adresses Internationalisme et démocr@tie

histoirecoloniale.net

Inprecor, revue en français de la IVe Internationale

Cerises la coopérative

 ……………………………………..

La France Insoumise, LFI

Nouveau parti anticapitaliste, NPA L’Anticapitaliste

Ensemble ! Mouvement pour une Alternative de Gauche Écologiste et Solidaire

Gauche Ecosocialiste

Union Communiste Libertaire

Lutte ouvrière (LO)

AntiCapitalist Resistance (Angleterre et Pays de Galles)

Groupe Internationaliste de solidaritéS-Genève (Suisse)

Fourth International Programmatic Tendency) & Magazine « 4 » (greek section of the 4th International)

……………………………………………………..

Pierre ABECASSIS, ancien médecin

Gilbert ACHCAR, professeur émérite, SOAS, Université de Londres (Royaume-Uni)

Hassan AGLAGAL, président de l’AMDH Paris Ile-de-France (Association Marocaine des Droits Humains)

Tino j. Prieto AGUILAR (Canarias)

Yvette ANDRE-FABRE, Ensemble, Dijon

Michel ANGOT, syndicaliste FSU Territoriale

Behrouz AREFI, militant de SSTI

Nathalie ARTHAUD, porte-parole de Lutte Ouvrière

Eric AUDRAIN syndicaliste 

Isabelle AVRAN, journaliste et militante associative

Olivier AZAM, réalisateur

Ludivine BANTIGNY, historienne

Alain BARON, commission internationale de l’Union syndicale Solidaires

Jean BATOU, professeur d’histoire contemporaine, Université de Lausanne (Suisse)

Olivier BESANCENOT, NPA-L’anticapitaliste

Jean BIGOT, producteur de films, militant d’Ensemble

Mariève BODOU, retraitée, militante NPA  L’Anticapitaliste (64)

Manuel BOMPARD, député LFI, coordinateur de la France Insoumise

Mariano BONA, militant anticolonialiste (France)

Jérôme BONNARD, secrétaire national de l’Union syndicale Solidaires

Martine BOUDET, membre du Conseil scientifique d’Attac France

Michela BOVOLANTA, féministe, secrétaire syndicale (Suisse)

Maurice BROCHOT, instituteur retraité, syndicaliste FSU

Jacky BRU, retraité des Banques

Jean BRUNACCI syndicaliste Union syndicale Solidaires

Claude CALAME, directeur d’études, EHESS, Paris

Leila CHAIBI, députée européenne LFI

Deborah CHRISMANN, chargée de clientèle à La Poste

Nara CLADERA, co-secrétaire fédérale SUD-Education, commission internationale de l’Union syndicale Solidaires, co-animatrice du Réseau syndical international de solidarité et de luttes

Marc CASANOVAS, magazine “Viento SUR » (Etat espagnol)

Francoise CLEMENT, chercheuse retraitée

Alexis CUKIER, philosophe

Alain CYROULNIK, syndicaliste FSU retraité

Philippe CYROULNIK

Joseph DAHER : chercheur, spécialiste du Moyen-Orient, militant internationaliste

Christian DANDRES, membre du Parlement Suisse (Suisse)

Sébastien DELOGU, député LFI, Commissaire aux Finances

Bernard DREANO, président du CEDETIM

Arnaud DUBIAU, militant de SolidaritéS (Suisse) et doctorant en géographie politique à l’université de Genève (Suisse)

Penelope DUGGAN, Editor, International Viewpoint

Josu EGIREUN, membre de la rédaction de Viento Sur (Euskal Herria)

Didier EPSZTAJN, Revue Adresses Internationalisme et démocr@tie

Annie ERNAUX, écrivaine

Herminia FAJARDO

Berouse FARAHANY, militant de SSTI

Jacques FATH, spécialiste des relations internationales

Georges Yoram FEDERMAN, Psychiatre Gymnopediste

Roland FICHET, Solidaires 74

Gérard FILOCHE, L’après

Carlos Pedro FREYTES (Argentine)

Jacques FROCHEN Secrétaire général de l’Association France Palestine Solidarité

André GARÇON, syndicaliste Union syndicale Solidaires, Finistère

Manuel GARI, Economista, Coordinadora Confederal de Anticapitalistas (Estado español)

Phil GASPER, philosophe (Etats-Unis)

Franck GAUDICHAUD, historien, Université Toulouse Jean Jaurès, Revue Contretemps web

Liliane GIRAUDON, poétesse 

Karl GRÜNBERG, activiste antiraciste et socialiste

Gerard GUENIFFEY, militant internationaliste, Sant Nazer BZH

Michelle GUERCI, journaliste émérite, féministe antiraciste

Clémence GUETTE, députée LFI, vice-présidente de l’Assemblée nationale

Sébastien GUEX Professeur honoraire de l’Université de Lausanne (Suisse)

Jacqueline GUILLOTIN, retraitée

Alain GUIRAUDIE, cinéaste

Manuel de la Rosa HERNANDEZ, miembro del Secretariado Permanente de la CGT Tenerife, Confederación General del Trabajo (CGT)

Simon HANNAH, secretary AntiCapitalist Resistance

Norbert HOLCBLAT, économiste, retraité

Gilles HOUDOIN, Ensemble ! l’Après, Ancien conseiller régional de Normandie

Samy JOHSUA, universitaire émérite

Rudi KENNES, député au Parlement européen (Belgique)

Pierre KHALFA, économiste Fondation Copernic

Babak KIA, militant de SSTI

Aurore KOECHLIN, sociologue, militante féministe et anticapitaliste

Daniel KUPFERSTEIN réalisateur

Abdelkader LAHMAR, député LFI

Jean-Yves LALANNE, membre de la CEN de l’APRES, ancien maire de Billère

Michel LANSON, Revue Adresses Internationalisme et démocr@tie

Frédéric LEBARON, sociologue

Philippe LEBRUN, syndicaliste, militant des Droits de l’Homme

Olivier LE COUR GRANDMAISON, universitaire

Arnaud LE GALL, député LFI

Kévin LE TETOUR, co-secrétaire fédéral SUD Education

Maurizio LOCCIOLA, avocat, Genève (Suisse)

Michael LOWY, directeur de recherches émérite au CNRS

Christian MAHIEUX, syndicaliste SUD-Rail, commission internationale de l’Union syndicale Solidaires, co-animateur du Réseau syndical international de solidarité de luttes.

Jan MALEWSKI, militant internationaliste

Jean MALIFAUD, militant internationaliste 

Jean-Claude MAMET, syndicaliste

Rossana MANDUJANO, coordinadora de Movimiento Anticapitalista (Pérou)

Patrick MARGATE, militant communiste

Maguy MARIN, chorégraphe

Fabien MARCOT co-secrétaire d’Égalites

Jean-François MARQUIS, membre du Syndicat des services publics (SSP), Suisse (Suisse)

Denis MARX, militant associatif

Gérard MAS (Quimper 29) 

Gustave MASSIAH, Altermondialiste

Maryvonne MATHEOUD, association iséroise des amis des kurdes (AIAK)

Daniel MATHEWS CARMELINO, coordinador de Palestina Libre (Pérou)

Eric MELCHIOR retraité

Isabelle METRAL

Romolo MOLO, avocat, Genève (Suisse)

Chantal MOREL, metteure en scène

Paul MURPHY, TD, People Before Profit, Member of Parliament (Ireland)

Ruben NAVARRO, syndicaliste, France

Olivier NEVEUX, Professeur des Universités (France)

Françoise NYFFELER, membre de la Grève féministe et ancienne députée – Genève (Suisse)

Josiane OLFF-NATHAN, militante pour la Palestine

Mathilde PANOT, députée LFI – présidente du groupe La France Insoumise

Thomas PORTES, député LFI

Christine POUPINporte-parole du NPA l’Anticapitaliste

Jaime PASTOR, Politólogo y miembro de la redacción de la revista « Viento Sur », (Estado español)

Evelyne PERRIN, économiste 

Charles POST, Professor, Graduate Center-City University of New York (USA)

Jamshid POURANPIR, secrétaire syndical du Syndicat Services Publics (SSP) de l’aéroport de Genève (Suisse)

Philippe POUTOU, porte-parole du NPA l’Anticapitaliste

Jacques PRADEL, président de l’Association Nationale des Pieds Noirs Progressiste et leurs Amis (ANPNPA)

Stefanie PREZIOSO, Professeure d’Université, ancienne députée nationale (Suisse)

Gérard QUILLAUD, Sotteville les Rouen (76) Gauche écosocialiste (GES)

Renée RAVOTEUR 

Caroline RENOLD, avocate, élue au Parlement de Genève (Suisse)

Fabrice RICEPUTI, historien

Frédérique RIEDLIN

Laurent RIPART, historien et professeur des Universités

François RIPPE, Vice président de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS)

Pierre ROUSSET, président Europe solidaire sans frontières (ESSF)

Alain RUSCIO, historien

Arash SAEIDI, député européen LFI

Henri SAINT JEAN, responsable associatif

Cheikh SAKHO histoirecoloniale.net

Catherine SAMARY, économiste altermondialiste, membre de l’UJFP

Sara SELAMI, militante de SSTI

Mariana SANCHEZ, militante syndicale et internationaliste

Bernard SCHMID, militant internationaliste

Linda SEHILI, commission internationale de l’Union syndicale Solidaires

Houshang SEPEHR, militant de SSTI, Editor Echo d’Iran

Nedjib SIDI MOUSSA, auteur et enseignant

Francis SITEL, directeur revue trimestrielle ContreTemps (France)

Patrick SILBERSTEIN, Revue Adresses Internationalisme et démocr@tie

Ashley SMITH, production Manager at Spectre Journal (USA)

Léna STRASSER, députée socialiste – Genève (Suisse)

Claude SZATAN, membre du CEDETIM

Taoufiq TAHANI, président d’honneur de l’association France Palestine Solidarité (AFPS)

Drass TECLES, membre du NPA L’Anticapitaliste

Juan TORTOSA, Groupe Internationaliste de solidarités-Genève (Suisse)

Jean-louis TOUTON enseignant en histoire (Luxembourg)

Tarek TOUKABRI, président de l’Association Démocratique des Tunisiens en France (ADTF)

Josette TRAT, maîtresse de conférences à l’université de Paris 8, retraitée

Anne TUAILLON, présidente de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS)

Christian TUTIN

Julien TROCCAZ, secrétaire fédéral SUD-Rail, commission internationale de l’Union syndicale Solidaires

Charles-André UDRY, économiste, éditeur, Lausanne, (Suisse)

Roseline VACHETTA  (NPA-L’Anticapitaliste, ancienne députée européenne)

Pierre VANDEVOORDE, ancien militant de la solidarité avec les prisonniers politiques syriens

Christian VARIN, syndicaliste et internationaliste

Flavia VERRI, Gauche Ecosocialiste

Pedro VIANNA, poète, homme de théâtre, enseignant universitaire

Christiane VOLLAIRE, Philosophe

Hervé VULLION, syndicaliste FSU

Béatrice WHITAKER, Docteure en Sciences Politiques – Unicamp – SP Brésil/Paris VIII

K.W. Kenneth YEUNG, doctorant en philosophie et science politique de l’Université de Paris Cité, membre du Laboratoire LCSP

Sophie ZAFARI, syndicaliste

Livia ZBINDEN, ancienne présidente du Conseil municipal, conseillère municipale Ensemble à Gauche/SolidaritéS Genève